Pierre Terrasson raconte:
Le métier fut dur et dangereux, car on y allait jusqu’à ce qu’une pièce ne lâche, tout en essayant « de ne pas se casser la figure » comme disait Pierre Terrasson, essayeur chez Citroën de 1931 à 1939. La force centrifuge dans les courbes et virages fut très importante d'où les rigoles remplies de débris de caoutchouc de chaque côté du circuit routier.
Pour la petite histoire, Pierre Terrasson a essayé la 7, la 15 en 1937 surtout et la 2CV à phare central en 1936. Il a vu tourner les 22 sous la forme de grosses 11 mais ne les a jamais essayées.
Guy LOOS © 2003